En 2011, We Love Green débarquait dans le game des festivals de France avec l’allure d’un petit rai de soleil qui tenterait de traverser un gros nuage de frites et de gobelets en plastique. Assumant son rôle de laboratoire entre énergies renouvelables, gastronomie locale et conférences de sensibilisation, le festival, grâce à une forte médiatisation, a peu à peu essaimé ses idées et son mode opératoire chez ses congénères. Dix ans plus tard, l’Ecocup ne suffit plus et ce sont presque toutes les parties de l’écosystème qui se bougent pour une scène plus verte.
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